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Anévrisme intracrânien : un nouveau projet pour mieux comprendre les risques

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  • Le 28 août 2024
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Un projet de recherche sur l’anévrisme intracrânien a débuté au CHU de Nantes. Associant les équipes de la clinique des données et du service de neuroradiologie diagnostique et interventionnelle et du Laboratoire des Sciences du Numérique de Nantes (LS2N - Nantes Université - Centrale Nantes - CNRS - Inria - IMT Atlantique), le projet ARAMISS aura pour objectif d’étudier l’interaction entre les déterminants sociaux de santé et les facteurs de risques individuels associés à la rupture d’anévrisme intracrânien.

Cerveau Les déterminants sociaux de santé correspondent à l’ensemble des conditions qui influencent notre santé (niveau de vie, tabagisme activité physique...). Ces déterminants représentent des nouvelles pistes à explorer afin de mieux comprendre le risque de rupture de l’anévrisme intracrânien.

Le projet ARAMISS reposera sur une méthode innovante d’intelligence artificielle (IA) utilisant le traitement automatique du langage pour récupérer ces données disponibles au sein de l’entrepôt de données de santé du CHU de Nantes. "Mieux comprendre les risques de rupture de l’anévrisme intracrânien est avant tout un enjeu de prévention pour nos patients", Pacome Constant dit Beaufils, neurologue au CHU de Nantes.

Mis à jour le 25 septembre 2024.
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